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F.A.Q.

Lors des salons du livre auxquels nous avons participé, nous avons pu voir que les interrogations d’un nouveau public venu découvrir ALCIBIADE DIDASCAUX étaient à peu près les mêmes quelle que soit la ville de France où nous nous trouvions, aussi, dans cette « Foire aux questions », nous essayons de répondre par avance aux questions que pourrait se poser le futur lecteur qui ne connaît pas encore cette série de B.D. didactiques.

Commander en ligne !

Comment sera traitée votre commande ?

Dès réception de votre commande, celle-ci sera préparée pour son expédition. Les ouvrages sont placés sous sachets bulles, afin de leur assurer une parfaite protection, et dans un carton haute protection. L’envoi est ensuite fait par la Poste en Colissimo access ou suivi, suivant votre choix.

Pourquoi une participation aux frais d’expédition ?

L’envoi par la Poste coûte cher ! Depuis la « pseudo libération du monopole de la Poste », une société privée : « COLISPOSTE », a été créé et depuis les tarifs n’ont cessé d’augmenter… seule la lettre de 20 g restant sous tarif réglementé… De plus, par leur qualité, les DIDASCAUX sont lourds, environ 0,800 kg l’album hors emballage.

Alcibade Didascaux est-elle une Bande Dessinée chère pour la qualité d’ouvrage proposé ?

Non. Son grand format : 24,5 X 34 ; sa couverture cartonnée sur 30/10 et ses 64 pages intérieures + pages de gardes imprimées sur papier 150 g satin en font un beau livre. Ceux qui suivent Alcibiade DIDASCAUX depuis ses débuts se souviennent que les albums se vendaient 89 francs et 98 francs pour l’album GRECE en 1993. Vingt ans plus tard, les albums sont à 17 euros…

Puis-je continuer à commander ALCIBIADE DIDASCAUX par support papier ?

Bien entendu, vous pouvez continuer à utiliser les bons de commande habituels sur support papier, vous pouvez également les télécharger sur notre site, et envoyer votre commande avec un (ou plusieurs chèques) à notre adresse.

Je n’arrive pas à vous joindre au téléphone lorsque j’appelle ?

Depuis l’avènement du portable et la baisse continue du prix des appels téléphoniques, les « appels » ont explosé. A cela s’ajoute également le démarchage commercial par téléphone ! Il n’est donc plus possible de répondre en permanence au téléphone, un appel toutes les deux/trois minutes ; ce qui nécessiterait une personne en permanence ou bien de mettre en place « un robot téléphonique » (ce qui coûte très cher), auquel chacun de nous est si souvent confronté pour son déplaisir…Taper 1, taper 2, taper 3, taper 4… etc

Où en est l’expédition de mon paquet ?

Vous pouvez suivre sur le site de Coliposte : https://www.coliposte.net l’état d’avancement de la livraison de votre colis.

Où trouver ALCIBIADE DIDASCAUX ?

Bien entendu, sur ce site de vente en ligne entièrement sécurisé que nous avons conçu à cet effet, où les ouvrages sont vendus à leur prix éditeur. Attention, certains sites de vente en ligne, comme la FNAC.com ou des vendeurs sur PRICE MINISTER proposent des Alcibiade Didascaux d’occasion ou neufs à des prix astronomiques, au prétexte que les ouvrages seraient introuvables. Ne vous laissez pas piéger : tous les albums parus sont disponibles et à leur prix normal de 17 € T.T.C. Aussi, n’hésitez pas à commander sur notre site!

La vérité sur quelques sites de vente en ligne internet !

Si vous cherchez Alcibiade Didascaux sur Amazon.fr, vous découvrez qu’aucun ouvrage neuf n’est proposé… mais la plupart des ouvrages sont proposés d’occasion avec des prix entre 110 € et 140 €… Il est vrai que « proposer la gratuite des frais de port » sur un ouvrage à 17 €, que l’on a pas en stock, donc des frais de port à payer pour l’avoir en flux tendu, et avoir à payer soi-même pour l’expédier un minimum de 8 € (les Didascaux sont de gros ouvrages) n’est pas commercialement possible. Sans commentaire. Le site de la FNAC.com présente à peu près la même caractéristique. Ils présentent les ouvrages neufs comme étant indisponibles pour la plupart, ce qui est faux, et proposent ensuite la vente d’ouvrages d’occasion avec des prix de s’étalant de 38 à 260 € ! Sans commentaire là aussi…

A propos de la série Alcibiade Didascaux !

Comment est né Alcibiade Didascaux ?

Retournons quelques années en arrière, fin des années 1980, en Ariège, au lycée du Couserans à St-Girons… Un professeur de Grec veut communiquer à ses élèves la passion de l’Antiquité Grecque et Romaine. Son fils se passionne pour la Bande Dessinée, dont il voudrait faire son métier. Pourquoi ne feraient-ils pas ensemble une Bande Dessinée sur la civilisation Hellénique ? C’est ainsi que va naître Alcibiade Didascaux, un héros, dont le nom Didaskô signifie en Grec ancien « J’enseigne » ! Alcibiade est projeté dans le passé par son collègue de Physique. Beaucoup d’humour et les connaissances sur la période feront d’Alcibiade un classique des C.D.I. « Et pourquoi pas le Latin ?», demandent aussitôt ses collègues de Lettres Classiques ? Suivront les deux volumes sur les Romains, bientôt complétés par deux volumes sur l’Egypte, trois sur les Gaulois, deux sur « Les Invasions Barbares » ou la fin de la civilisation romaine, puis ces quatre volumes où l’on étudie de près la fin de la République Romaine et la Fondation de l’Empire, période cruciale de l’histoire du monde antique et du pourtour méditerranéen.

Alcibiade Didascaux, pourquoi ce nom étrange ?

Le véritable Alcibiade, que l’on déclarait être « le plus bel homme d’Athènes» était le neveu de Périclès. Proche du pouvoir, riche, beau, intelligent, Alcibiade côtoya Socrate qui essaya de l’éduquer et lui sauva même la vie lors de la guerre du Péloponnèse à la bataille de Potidée, comme il sauva aussi Xénophon à la bataille de Délion. (Beaucoup l’ignorent, mais le philosophe a combattu en Hoplite.) Le héros athénien Alcibiade cumulait beaucoup d’avantages, mais seul lui manquait le principal : la vertu. Aussi, le bel Alcibiade finira sa vie misérablement, après avoir trahi Athènes et il reste comme le modèle de l’homme politique corrompu, un exemple de celui qui avait tout, mais n’a pas utilisé à bon escient ses acquis. Notre personnage est, lui, comme Socrate, c’est-à-dire doté par la nature d’un physique plutôt ingrat, mais d’une âme noble, désireuse d’ap- porter beaucoup à ceux qui le côtoient ! Ne vous fiez pas au seul physique de ceux que vous croisez… D’ailleurs qui est beau et qui est laid ? Nous savons tous que tout cela est subjectif, selon la société et l’époque dans laquelle on vit. L’humour est à notre Alcibiade ce que l’ironie était à Socrate !

A partir de quel âge peut-on lire Alcibiade Didascaux ?

Le succès d’Alcibiade Didascaux auprès de très nombreux élèves montre que l’on peut s’instruire à la lecture d’une Bande Dessinée didactique. Lire est important, la qualité du contenu l’est encore plus, car le cerveau enregistre tout. La question la plus difficile à laquelle nous ayons d’ailleurs à répondre sur les salons du livre est la suivante : « À partir de quel âge peut-on lire un Didascaux ? » Il est important de savoir qu’il convient d’investir très tôt dans l’éducation et le capital humain. En effet, les lecteurs de Didascaux vont de l’âge de 9 ans aux collégiens et lycéens, chaque lecteur est différent, des étudiants d’Histoire aux enseignants d’Histoire et de Lettres Classiques et même de nombreux Universitaires, chacun suivant sa culture y trouvant alors un plaisir complice !

Que pensent les bons lecteurs d’Alcibiade Didascaux ?

« Fascinant » disent les lecteurs passionnés d’Alcibiade Didascaux ! Ne l’oublions pas, c’est avant tout l’histoire antique qui est belle et combien tragique. C’est pour cette raison qu’elle est agréable à raconter. Nous suivons dans cette série la pensée de Polybe, le grand historien grec de l’Histoire romaine qui écrivit : « Il est nécessaire de recommander à tout le monde l’étude et la pratique des ouvrages d’histoire, parce qu’il n’y a pas de leçon qui soit plus accessible aux hommes que la connaissance des événements du passé.» N’est-ce pas cela l’humanisme ?

Au-delà de l’humour présent dans Alcibiade Didascaux, la vérité historique est-elle là ?

Un « Alcibiade Didascaux » est tout d’abord apprécié pour son humour. C’est un délicieux piège culturel qui change le lecteur. On s’y plonge tout d’abord facilement parce que c’est une B.D. et aussi parce qu’il y a de l’humour intelligent, puis on découvre alors un véritable livre d’histoire et l’on se rend compte ensuite de la qualité du contenu par les connaissances transmises ! Combien de parents déclarent être étonnés des connaissances acquises par leurs enfants grâce aux « Alcibiade » et être eux-mêmes devenus ainsi des lecteurs d’Alcibiade Didascaux ! Ne pas véhiculer de fausses connaissances qui se graveront à vie dans l’esprit d’un lecteur, mais lui faire aimer l’histoire antique pour l’entraîner plus loin vers d’autres lectures, car la lecture reste la clé universelle de l’accès au savoir !

Peut-on commencer la lecture d’Alcibiade Didascaux par n’importe quel volume de la série ?

C’est l’une des caractéristiques de cette série. Chaque album peut être lu séparément ; on peut donc commencer par n’importe quel album ! Il est évident que pour un jeune lecteur, il sera judicieux de respecter la chronologie des civilisations et pour certaines d’entre-elles, par exemple l’Egypte de découvrir la mythologie avant l’histoire. Pour les autres lecteurs, l’intérêt d’une civilisation qu’il aime particulièrement ou au contraire qu’il méconnait sera le fil d’ariane parfait. L’une des idées sous-jacentes à cette série étant de montrer le lien de toutes les civilisations entre-elles.

Cette série d’ouvrages est-elle une série sans fin ?

L’un des objectifs est d’arriver à la Renaissance et montrer comment cette période est avant tout provoquée par la redécouverte des auteurs de l’Antiquité. D’autres albums consacrés à d’autres civilisations anciennes sont en projet.

Relations enseignants !

Enseignante, je donne régulièrement à mes élèves des photocopies d’Alcibiade Didascaux, en ai-je le droit ?

Bien sûr, mais si vous ne déclarez pas les photocopies qui sont faites, les auteurs seront lésés, car le C.F.C doit connaître les ayants droits afin de leur verser ce qui est payé par l’Education Nationale au C.F.C. quoi qu’il advienne. Ainsi chaque année, des sommes importantes sont accaparées par les mêmes groupes d’édition importants (avec un fort pouvoir de lobbying) et leur sont versées au prorata de leur chiffre d’affaires… Vous pouvez comprendre la tristesse des auteurs d’Alcibiade chaque fois que vous leur dites « Je vous photocopie beaucoup » ou des élèves qui leur disent, j’ai eu des photocopies de cette ou cette page », sans que cela se traduise sur leur relevés de droits pour la bonne raison que ces photocopies n’ont pas été déclarées au C.F.C… Alors que déclarer ne changera rien pour vous ! C’est le nombre d’élèves de votre établissement qui conditionne la redevance versée au C.F.C. Il est vrai, les affiches posées à coté des photocopieurs ne sont pas très explicites, car ce n’est que très rarement qu’un enquête est menée et trop souvent les cahiers d’enquête ne sont pas remplies…

J’aimerais pouvoir faire commander ALCIBIADE DIDASCAUX CHEZ LES ROMAINS à mes élèves pour travailler avec eux lors des cours de latin, comment faire ?

Vous pouvez utiliser le « Bon de commande groupée » comme l’ont déjà fait de nombreux collègues. Tous les élèves recevront alors leurs ouvrage dédicacé par CLAPAT avec un beau dessin à l’encre de Chine. Ce bon de commande peut être téléchargé.

Enseignante, Professeur Documentaliste, je souhaiterais faire inviter le dessinateur CLAPAT dans mon établissement, comment faire ?

Tout d’abord prendre contact avec la maison d’Edition qui fera le relais avec les auteurs. Les tarifs d’intervention sont ceux fixés par la « Charte des auteurs jeunesse : site Ensuite, il convient d’établir le thème exact de l’intervention en collaboration entre l’enseignant et l’auteur. Les interventions de CLAPAT et de SCARDANELLI remportent chaque fois beaucoup de succès auprès des élèves.

Quel est le jugement porté par les enseignants de Lettres Classiques ?

« Félicitations pour votre travail ! Les élèves adorent, moi aussi ! » « Le héros de cette bande dessinée porte un nom qui lui sied à merveille : il est bien question d’apprendre et avec quel plaisir ! Alcibiade Didascaux professeur de langues anciennes, après une extraordinaire odyssée à travers la Grèce antique grâce à la machine à remonter le temps de son collègue de physique (cf. L’extra- ordinaire aventure d’Alcibiade Didascaux), refuse de se plier à une nouvelle expérience. Toutefois, lors d’un cours de latin mouvementé, le professeur Didascaux fait chuter d’une armoire un énorme volume de l’Enéide qui l’assomme… et le périple commence. Loin d’être seulement l’histoire racontée en bulles, cette bande dessinée pédagogique, pleine d’humour, constitue une initiation et une invitation à la lecture de l’Antiquité. Les albums, en effet, délivrent vignette après vignette une masse étonnante d’informations en matière de mythologie et de civilisation. Truffés d’expressions latines ou de mots français directement issus du latin, ils permettent en outre, une approche de la langue. Le Tome I couvre l’époque légendaire, la Royauté et la République. Le Tome II est consacré à l’Empire. » R. David CHOISIR, Livres, documents et références pour l’enseignement. Le choix des Groupes d’Etudes Ministériels, publié par le Centre National de Documentation Pédagogique. Dossier coordonné par le C.R.D.P de Haute-Normandie, 50 titres pour les Langues anciennes, collège-Lycée – Mai 1998 – N° 34

Le saviez-vous ?

Si des milliers de lecteurs (jeunes et moins jeunes) lisent Alcibiade Didascaux et alors que les ouvrages de Latin en reprennent régulièrement des extraits, sa référence la plus prestigieuse reste d’avoir été utilisé à l’Agrégation interne de Lettres Classiques, où la page consacrée à Socrate a été utilisée comme document en Didactique ! Et Alcibiade Didascaux est actuellement traduit en Chinois !

Où trouver Alcibiade Didascaux ?

Pourquoi ne trouve-t’on pas Alcibiade Didascaux dans toutes les librairies ou dans l’espace librairie des super-marchés ?

Certains libraires qui travaillent avec nous depuis plus de 20 ans ont toujours des « Alcibiade DIDASCAUX » en magasin et nous suivent en « ouvrages de fonds ». Mais les véritables libraires « travaillant le fonds » deviennent de plus en plus rares, la plupart se contentent désormais de « travailler » la nouveauté mise en place par le diffuseur et ensuite de « commander » ponctuellement les ouvrages lorsque le client souhaite les commander… le flux tendu au maximum ! Mais ce système à ses limites : ainsi l’envoi d’un seul livre en colissimo a un coût de 8 € hors emballage, 9 € pour deux à trois ouvrages. Comment donc proposer à ses clients des frais de port gratuits (que nous lui facturons), alors qu’un ouvrage vaut 17 € T.T.C. ? Sa remise ne couvre pas les frais d’envoi ou à peine, aussi ce libraire préférera dire à son client que « les ouvrages ne sont pas disponibles » ; « que ces ouvrages sont épuisés » ; « que nous n’avons pas répondu à sa commande » et même « que nous n’existons plus » ; ceci dans l’espoir de lui vendre autre chose… « car l’oeil achète ce qu’il voit et sa librairie est pleine de nouveautés sans cesse renouvelées qu’il lui faut vendre pour payer ses échéances ou renvoyer à l’éditeur avant l’échéance de la facture… » Voilà pourquoi lorsqu’on souhaite un ouvrage en librairie, « si ce n’est pas une nouveauté d’un éditeur des quelques groupes qui se partagent le marché », il faut toujours le commander… et malgré cela on n’est pas toujours sûr de l’avoir… Heureusement Internet est là !

J’ai commandé ces ouvrages chez mon libraire qui m’a déclaré qu’ils étaient indisponibles ou qu’il ne pouvait se les procurer !

Ce dernier vous a peut-être proposé une « remise », des frais de port gratuits ! Et lorsqu’il regarde sa facture « pro forma », car il s’est engagé à vous proposer tout cela avant d’avoir lui-même commandé ces ouvrages, il constate qu’il ne gagnera pas d’argent sur sa vente, aussi il préférera vous mentir en déclarant que ces ouvrages sont indisponibles, plutôt que de vous avouer que faire venir un ou deux ouvrages n’est pas rentable pour lui.

Quel est le mode de diffusion actuel d’un livre en librairie ?

Environ six mois avant sa parution, « avant même que l’ouvrage ne soit terminé et imprimé », une présentation commerciale de l’ouvrage est faite auprès des « commerciaux du diffuseur », avec un résumé de l’ouvrage, la couverture du livre et le plan de communication publicitaire que peut mettre en oeuvre la maison d’édition : télé, spots radio, entretiens, publicité presse, actualités, etc. Ces données permettent au « commercial » de visiter son panel de librairies ou de « centrales d’achat » et d’effectuer « une mise en place des nouveautés » avec une quantité d’ouvrages et une date de parution prévue. Bien entendu, plus le plan de communication mis en place est important, « plus le libraire se laisse convaincre de faire une mise en place importante » qui assurera une bonne visibilité du livre en librairie. Rappelons que jusqu’à présent personne n’a encore vu le livre, qui est encore un objet virtuel. A sa parution, à la date retenue, s’il n’y a pas de retard, le « libraire » reçoit ses nouveautés qu’il présente selon la place dont il dispose et qu’il essaie de vendre avant l’échéance de sa facture, entre 60 et 90 jours. C’est pour cela que « certaines dites meilleures ventes » sont proposées plusieurs fois en « Facing », c’est-à-dire la couverture de l’ouvrage en premier regard et cela plusieurs fois: cela peut aller jusqu’à 9 fois chez certains distributeurs de livres. Si l’ouvrage n’est pas vendu dans ce délai, ce n’est pas grave, d’autres nouveautés arrivent, le libraire renvoie à son distributeur les invendus, « ces fameux Retours » qui laissent la place à d’autres nouveautés…

Où trouver Alcibiade Didascaux ?

Bien entendu, sur ce site de vente en ligne entièrement sécurisé que nous avons conçu à cet effet et où les ouvrages sont vendus à leur prix éditeur! Attention, certains vendeurs sur certains sites de vente en ligne, sur le marché des ouvrages d’occasion (sur fnac.com ou le market-place d’amazon, ainsi que certains des vendeurs sur priceminister.com), proposent des Alcibiade Didascaux d’occasion ou neufs à des prix astronomiques 90 €, 120 € au prétexte que ces ouvrages seraient introuvables.

Ne vous laissez pas piéger : presque tous les albums parus sont disponibles et à leur prix normal de 17 € T.T.C. Aussi, n’hésitez pas à commander sur notre site !

Pourquoi certains libraires ne présentent-ils plus que de la nouveauté ?

Le raccourcissement du délai de retour des nouveautés est une tendance dominante depuis 10 ans. Avant l’ère de l’informatique, le libraire avait un délai d’une année avant de renvoyer ses nouveautés invendues… Aujourd’hui les libraires conservent les ouvrages reçus à l’office 12 semaines en moyenne (parfois moins pour le type de librairie dénommées « grandes surfaces culturelles », où les retours peuvent être faits au bout de quinze jours maximum), et les libraires sont seulement 15% à les conserver plus de 4 mois. L’accélération du rythme de production éditoriale génère une importante augmentation du volume des « offices », responsable d’un surcroît de travail pour le libraire et d’une fragilisation de sa trésorerie, d’où le choix qu’il fait bien souvent de ne travailler qu’avec de très grosses maisons d’édition, même s’il doit subir des « grilles d’offices imposées », seules garantes d’un bon niveau de remise pour lui… Les maîtres mots d’un responsable de librairie pour juger de la qualité d’un ouvrage sont aujourd’hui : % du taux de remise ; taux de rotation des stocks et éventuellement possibilité d’obtenir une « sur-remise », s’il effectue « une mise en avant de l’ouvrage », du « facing » ou une mise en place importante. La conséquence directe de cette augmentation de la production éditoriale est l’érosion progressive des fonds, qui ne sont plus renouvelés et la disparition des « vrais libraires », ceux où l’on trouve des livres autres que la nouveauté. Un libraire qui a trop de stock est mal noté par son banquier… Tout ceci signifie donc la standardisation progressive de l’offre d’un point de vente à un autre. « Plus de diversité du livre, mais le même ouvrage partout et pendant seulement quelque temps… » et un même titre mis en avant suivant « le buzz » qu’il peut faire… Il est sûr que l’acheteur potentiel d’un ouvrage, fatigué de devoir aller en librairie pour commander des ouvrages qu’il n’est parfois pas sûr de recevoir, choisi bientôt de le faire directement sur internet lorsque ce choix lui est proposé. C’est donc un changement de la manière d’acheter le livre qui se met peu à peu en place.